(Pour en savoir plus, voici une: analyse beaucoup mieux)
Lieu : en Inde
Kâli est une déesse avec une apparence particulière et contradictoire. (p.117 : « Kâli la noire est horrible et belle. Sa taille est si fine que les poètes qui la chantent la comparent aux bananiers. Elle a des épaules rondes comme le lever de la lune d'automne ; des seins gonflés comme des bourgeons prêt d'éclore. Ces cuisses ondulent comme la trompe de l'éléphanteau nouveau-né et ses pieds dansants sont comme des jeunes pousses. Sa bouche est chaude comme la vie ses yeux profonds comme la mort », « Kâli est abjecte » (= Qui mérite le mépris, inspire un dégoût moral.)) Elle est parfaite mais côtoie des personnes peu honorables. Les dieux jaloux de sa perfection la décapitent d’un éclair. Les dieux contrits (Qui se repent amèrement) prennent sa tête et la ressuscite dans le corps d’une prostituée. Elle continue donc les activités de prostituée. Sa tête est en désaccord avec son corps. Elle se met à devenir cruelle (pp.121 ¾ à 122 ½).
Un jour Kâli fait la rencontre du Sage. Elle lui explique le conflit entre sa tête et son corps. (Reformulation des paroles du Sage par Mistral AI Large 2 v24.01 : « Tu n'étais pas plus libre des contraintes de la vie, et même si tu avais un corps indestructible, tu ne serais pas plus protégée des malheurs que dans ton état actuel. Peut-être que dans ton état de souffrance et de déshonneur, tu es plus proche de comprendre des vérités profondes qui transcendent les formes matérielles. Le désir t'a montré que le désir en lui-même est vain, et le regret t'a appris que regretter est inutile. Accepte tes erreurs comme une partie inévitable de l'expérience humaine. Tes imperfections sont nécessaires pour que la perfection puisse être reconnue et comprise. Ta colère ou ta passion, bien qu'elles ne soient pas une force en soi, sont des aspects éternels de l'existence humaine. »)