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Le sourire de Marko

Histoire dans une histoire : l’un des personnages raconte une histoire, en l’occurrence l’ingénieur français. Il y a aussi une archéologue grec qui écoute l’histoire, et un pacha égyptien (il ne dit rien). Ils sont sur le pont supérieur et ils boivent.

Résumé (par ordre d’apparition)

Ils sont au Monténégro, qui est en ce temps islamique. Marko est décrit comme le sauvage, nu, contrairement aux autres européens du moyen-âge qui ont “une armure de principes”, il est beau, grand, et il charme, aussi bien “les femmes que la mer” (il nage bien). Il nage de Raguse pour aller rencontrer une femme, elle qui croit en l’Islam, et lui est chrétien. Ils ne croient pas en la même religion et c'est une relation en secret. Un soir, la veuve qui pleure cuisine mal et Marko, qui a bu et n'a plus de patience, lance le plat par la fenêtre. La veuve lave le plancher.

On appelle pas la veuve pour rien. Elle est malheureuse, (les larmes avant de préparer le repas), et elle est décrite avec des termes péjoratifs (page 35). Elle continue d'être appelée veuve. Ils n'ont pas l'air de s'aimer beaucoup.

Avant de dormir, la veuve dit à Marko de rentrer à Raguse à la nage un peu plus tard le lendemain. Là, il ne le sait pas, mais c'est pour que les soldats turcs puissent l'attraper, car elle les a prévenus. Le lendemain, il se réveille et voit des soldats encercler la maison. Il se jette dans la mer houleuse et il nage sans avancer. Les soldats essaient de l'atteindre, mais leurs flèches sont déviées par le vent. Enfin, ils réussissent à la capturer, mais il fait le mort. Les notables disent “Allah! Il est mort comme [..] afin que notre sol ne soit pas souillé par son corps” (-> Anaphore) mais la veuve dit de le crucifier, mais aucune goutte de sang, car il commande son propre sang. Anaphore 2: Pardon à Dieu d’avoir essayé de crucifier un mort et cette fois pour s’en débarrasser ils veulent le jeter à la mer avec une pierre (gradation, réparation de la faute toujours plus importante). La veuve dit qu’il n’est toujours pas mort, et qu’il faut le torturer avec des charbons brûlants. Il ne se passe rien. 3e anaphore et gradation, on décide de le jeter à la mer dans un sac avec des pierres pour que la mère, la mer elle-même, ne sache pas qui a été jeté. La veuve dit de ramener les jeunes filles du village pour voir si l’amour fait quelque chose. Cette fois-ci, son cœur bat plus vite, mais le crépuscule et la plus belle fille (Haisché) couvre son sourire. Vient le temps de la prière, tout le monde part sauf la veuve qui reste surveiller sa croix sur la plage. Il se réveille et la crucifie elle, quand le village revient, ils sont surpris. Il reviendra plus tard reprendre Haisché.

-- sortie de l’histoire --

L'archéologue avait déjà entendu une version plus ancienne de cette histoire.