Limite de responsabilité
Il faut noter que ce résumé ne reflète en rien le style utilisé dans le texte original; les mots y sont en effet durs, crus, recherchés, percutants. Il y a également des commentaires dans le livre, qui ne sont pas ici présentés. Ce texte devrait plutôt servir d'aide mémoire chronologique factuel, et aucunement remplacer une lecture.
Résumé
Une famille de baladins (travailleurs du cirque), qui viennent de se retrouver après une représentation de cirque, où la mère s'est plantée, est très pauvre. La mère était partie à cause d'une jambe cassée par la faute de Pedrillo. Le père, Pedrillo n'aime pas sa femme, Marguerite; elle pleure, se plaint trop (à juste titre selon moi) et est laide. Il n'aime pas non plus ses enfants, Ernesto, Auguste et Gaeofa; ils lui rappellent trop sa mère. Le lendemain, la mère qui n'a pas pu dormir entre les pensées de violence, de faim et de problèmes d'argent, va mendier en jouant du violon avec des habits délabrés accompagnée de ses deux enfants Ernesto et Gaeofa. Il faut savoir que c'est novembre, et que la seule chose qu'ils ont reçu, c'est les éclaboussures de calèches qui passaient ainsi que des commentaires sur la laideur de Marguerite. Elle venait de casser son violon. Elle décide alors de rentrer, et, sur le chemin, passe à côté d'une patisserie chère, et y voit cette scène; une maman, avec deux enfants du même âge que ses propres enfants, qui viennent de finir et donnent les restes à leur chien, ce qui lui fait de la peine.
<autre décor, pov de pedrillo>
On est dans un casino, et pendant 5 pages on décrit les émotions fortes et ressentis de Pedrillo après avoir tout perdu au jeu. Le lendemain, on est avec toute la famille, dans la tente, et ils font leurs affaires pour partir vers un avenir incertain, suivant une vision du père. Sur leur route, Pedrillo rencontre un ancien ami, Isambart, qui a une sœur, Isabellada et qui est vraiment belle. Rapidement, il se met avec elle et délaisse sa femme et ses enfants (il en fait d'ailleurs un, qu'il aime, contrairement à ceux de sa femme). Isambart voue une haine sans nom ni raison envers Marguerite, et l'humilie fréquemment. Ils mendient tous ensemble, maintenant avec plus de succès grâce à Isabellada, et gagnent mieux leur vie qu'avant. Isabellada les fait donc tous vivre par des moyens moins honorables.
<autre décor> Un peu plus tard (1mois~3ans), ils sont dans un bal tout ce qu'il y a de plus classique, donc on peut s'imaginer qu'ils gagnent vraiment bien leur vie (toujours grâce à Isabellada). Ils s'amusent, et, fait notable, Isambart remet la barre du harcèlement toujours plus loin avec Marguerite. Tous considèrent Marguerite comme un frein, un boulet, à ce point. Le lendemain de ces évènements, Isabellada dispute la propriété de sa couverture avec l'un de ses fils, Ernesto, et, Pedrillo qui arrive tranche et donne raison à Isabellada, à tort. S'en suit deux pages où Marguerite étale des points négatifs pertinents à propos de Isabellada à Pedrillo, qui, n'ayant pas vraiment de quoi lui répondre, lui lâche un lion dessus (littéralement, on est avec une compagnie de cirque). <un peu après> Marguerite sort de l'hopital, et voit Isabellada dans une calèche en compagnie d'un seigneur dont elle est la compagne. Elle est repoussée par les domestique, puis finalement se suicide dans la Seine. <plus tard (le matin suivant)> On la repêche, et quelqu'un dans la morgue s'étonne de la voir là puisque elle était dans l'hôpital jusqu'à récemment. À la fin, une scène d'haute ironie, un homme se plaignant que sa pipe se soit cassée. FIN
Moralité
Note: ce n'est pas vraiment une moralité mais plus un commentaire sur le titre.
(L'auteur indique qu'il a) Écrit ce livre pour faire comprendre la difficulté de la vie, de bonne foi. La signification du titre est que Marguerite est "Un parfum à sentir", dans le sens où c'est une histoire dont on devrait prendre connaissance, et qu'il aurait même pu dire "Une fleur à voir", par rapport à la beauté de Isabellada. Le nom original qu'il avait choisi n'est pas resté car il avait peur de l'Église.
Il existe une deuxième partie de la moralité (qui n'en fait en fait pas partie) s'intitulant "Ce que vous voudrez", nous laissant sûrement comprendre que c'est la morale à laquelle on s'attendait. Il nous raconte d'abord son processus d'écriture du livre (rien d'intéressant, allez le voir par vous-même, p62, c'est déjà assez synthétique). Il nous dit par contre qu'il ne nous expliquera pas la morale, car il a la flemme, et qu'il nous laisse réfléchir, mais en connaissant le titre original.
random
livre stylé en vrai mais ce résumé ne reflète aucunement, comme je l'ai dit, le vrai style du livre. n'hésitez pas à proposer des modifications. j'ai tout écrit à la main, ça m'a pris de ~21h30 à 22h30.